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C’est un fait-divers inhabituel que relatent Sud Ouest et La République des Pyrénées. Un photographe amateur de 55 ans s’est retrouvé devant le tribunal correctionnel de Pau. Il avait été mandaté par une entreprise de Lacq pour réaliser des clichés aériens en octobre 2017. Le survol de l’entreprise Toray avait été détecté par un vigile qui avait donné l’alerte. Les conditions du vol ne sont pas très claires : il a suspicion d’espionnage industriel du site de l’entreprise Toray à la demande du client du pilote, à son insu. L’endroit est en zone urbaine, zone protégée (P4 Lacq) interdite de pénétration, et l’usine de Lacq, qui occupe la plus grande partie du site, juste à côté, est interdite de prise de vues. Par ailleurs, l’article de Sud Ouest indique que le drone n’était pas conforme aux règles de sécurité.

Source : Prises de vues illégales en drone à Lacq, la sanction ?[:]