Pour réduire le coût du contrôle des pièces en composite dans l’aéronautique, le projet Fantom automatise le contrôle non destructif à l’aide d’une plateforme robotique flexible, qui s’adapte à différentes géométries de pièces.
Après trois ans, le projet Fantom touche à sa fin. Doté d’un budget de 3,9 millions d’euros, celui-ci visait à automatiser le contrôle non destructif de grandes pièces composites dans l’aéronautique. Une approche qui consiste à connaître l’état de santé d’une structure sans en altérer ses propriétés mécaniques ni détruire la pièce. A la manette : l’IRT Jules Verne avec le CEA-List, Airbus et sa filiale Testia, Daher ainsi que le concepteur de cellules robotisées Axiome.
Pour en savoir plus : Airbus et Daher cherchent à automatiser le contrôle non destructif de grandes pièces composites