Malgré l’échec de ses ambitions canadiennes, Naval Group peut compter sur un carnet de commandes rempli pour la fabrication de sous-marins dans l’Hexagone. Entre investissements et recrutements, le groupe français cherche à repousser les capacités de son site de Cherbourg (Manche) avec l’export en ligne de mire.
Il n’a pas réussi à vendre ses sous-marins au Canada, mais même sans ce contrat, Naval Group possède un carnet de commande bien rempli pour les prochaines années. Si deux unités de classe Scorpène doivent être réalisées sous transfert de technologie en Indonésie, c’est Cherbourg (Manche) qui concentre la majeure partie l’activité du groupe français dans le domaine. Installé à côté de l’arsenal militaire et fort d’environ 5000 salariés (en comptant les sous-traitants), le site mène plusieurs projets de front.
Pour en savoir plus : Avec un carnet de commandes bien rempli, Naval Group peut-il vraiment fabriquer davantage de sous-marins en France ?
