Peser le pour et le contre avant de se mettre «au service de la souveraineté nationale». Renault, qu’on a dit cet été sur le point de produire des drones pour le front ukrainien, «étudie la possibilité de mettre son savoir-faire industriel au service de projets de défense», a-t-il formalisé, fin septembre, dans une lettre à ses salariés.
Pour en savoir plus : Economie de guerre : Renault pose ses conditions avant de se tourner vers l’armement