Deux jours après l’annonce par Airbus de la nécessité de mettre à jour des milliers d’A320, une centaine reste encore immobilisée. Le coût de cette crise express devrait être faible pour l’avionneur.
La tempête, qui s’annonçait forte, n’aura finalement été que de courte durée. Et elle n’a pas provoqué une onde de choc dans le trafic aérien. Alors qu’Airbus avait annoncé, vendredi 28 novembre au soir, la nécessité d’immobiliser jusqu’à la moitié de sa flotte d’A320, moins d’une centaine était encore clouée au sol lundi 1er décembre au matin, comme l’a fait savoir l’avionneur.
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