Un groupe de travail dédié à l’impression 3D a été mis en place depuis peu dans le cadre de l’économie de guerre prônée par le gouvernement. Entre gain de temps et de matière, cette technologie pourrait contribuer à tirer vers le haut les cadences de production.
Et si l’impression 3D participait à l’effort de guerre ? Cette technologie fait en tout cas l’objet d’une attention inédite depuis de le début de l’offensive russe en Ukraine, qui oblige les fabricants à accélérer les cadences de production. Selon nos informations, elle fait l’objet depuis quelques mois d’un groupe de travail dans le cadre de l’économie de guerre prônée par le gouvernement, animé par la Direction générale de l’armement (DGA). Ses membres cherchent à évaluer l’opportunité d’une introduction plus rapide de cette technologie – basée dans la plupart des cas sur la fusion laser sur lit de poudres métalliques – dans les différents domaines de la défense.
Pour en savoir plus : Dassault, Nexter, MBDA… L’impression 3D pourrait jouer un rôle dans l’économie de guerre