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Ami d’enfance du chef du gouvernement, Henrik Landerholm a reconnu avoir oublié son téléphone et plusieurs documents sensibles dans des lieux publics. L’opposition de centre gauche réclame son départ.

« La Suède n’est pas en guerre. Mais la paix ne règne pas non plus. » Ces propos, tenus le 12 janvier par le premier ministre conservateur suédois, Ulf Kristersson, lors de la Conférence nationale du peuple et de la défense, organisée dans la station de ski Sälen, visaient une nouvelle fois à alerter la population sur les dangers qui menacent le pays : « Nous et nos voisins sommes exposés à des attaques hybrides, non pas avec des missiles et des soldats, mais avec des ordinateurs, de l’argent, de la désinformation et des menaces de sabotage », a-t-il constaté.

Pour en savoir plus : En Suède, la nonchalance surprenante du conseiller à la sécurité du premier ministre, qui oublie régulièrement des documents classifiés dans des lieux publics