Le fier cocorico a perdu de sa superbe et laisse place à un gazouillis maigrelet teinté d’amertume. En moins de trois ans, la filière française du drone civil, pourtant pleine d’allant depuis la réglementation établie en 2012, semble faire du surplace. Certes le français Parrot s’est taillé une belle renommée mondiale dans les drones de loisir. Certes la SNCF vient d’annoncer son intention de détenir une flotte d’une dizaine d’engins d’ici la fin de l’année pour la maintenance et la sécurité de son réseau.
Pour en savoir plus : Le drone français n’est plus dans le vent – L’Usine de l’Aéro.